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De nombreux logiciels permettent aux développeurs d'écrire des modules (également appelés plugins, extensions, modules complémentaires, etc.) pour augmenter les fonctionnalités. Il n’y a pas de réponse unique, car cela dépend du type de logiciel. Voici quelques exemples :
* Langages de programmation : La plupart des langages de programmation (comme Python, Java, JavaScript, C++, etc.) sont conçus pour être extensibles. Les bibliothèques et les frameworks sont essentiellement des modules qui ajoutent des fonctionnalités.
* Systèmes d'exploitation : Les systèmes d'exploitation tels que Windows, macOS et Linux permettent aux utilisateurs d'installer des pilotes et d'autres logiciels qui étendent leurs capacités.
* Navigateurs Web : Les navigateurs comme Chrome, Firefox et Safari prennent en charge des extensions qui ajoutent des fonctionnalités telles que des bloqueurs de publicités, des gestionnaires de mots de passe, etc.
* Moteurs de jeu : Les moteurs de jeu comme Unity et Unreal Engine disposent de systèmes de plugins étendus permettant aux développeurs d'ajouter de nouveaux outils, fonctionnalités et ressources.
* Systèmes de gestion de contenu (CMS) : Les CMS comme WordPress, Drupal et Joomla permettent l'installation de plugins et de thèmes pour modifier leurs fonctionnalités et leur apparence.
* Environnements de développement intégrés (IDE) : Les IDE comme Visual Studio, IntelliJ et Eclipse disposent souvent de systèmes de plugins pour prendre en charge divers langages de programmation, débogueurs et autres outils.
* Logiciel de CAO : Les logiciels de conception assistée par ordinateur (CAO) comportent souvent des modules complémentaires qui étendent leurs capacités.
Le fil conducteur est une API (Application Programming Interface) bien définie qui permet aux développeurs externes d'interagir avec le logiciel de base et d'ajouter leur propre code.
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