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IPAWS (Integrated Public Alert and Warning System) n'utilise pas un seul protocole pour *formater* les messages numériques dans le sens d'un encodage spécifique comme JSON ou XML. Au lieu de cela, il utilise une combinaison de protocoles et de normes à différents niveaux pour garantir la livraison et la réception :
  
 * CAP (Protocole d'alerte commun) : Il s'agit de la norme *de base* pour le *contenu* du message d'alerte lui-même. CAP définit la structure et les éléments de l'alerte, y compris la gravité, l'urgence, l'audience et le texte réel de l'alerte. Bien qu'il ne s'agisse pas strictement d'un « protocole de formatage » au sens du HTML, il dicte la structure sémantique des informations d'alerte.  
  
 * Protocoles de livraison : La *transmission* réelle des messages CAP utilise différents protocoles en fonction de la méthode de livraison. Ceux-ci pourraient inclure : 
  
 * Multidiffusion IP : Pour distribuer des alertes sur un réseau de récepteurs.  
 * POST HTTP : Pour envoyer des alertes à des points de terminaison ou à des services Web spécifiques.  
 * E-mail : Bien que ce soit moins courant pour les alertes publiques généralisées, le courrier électronique peut être une méthode de transmission pour certaines alertes IPAWS.  
 * Alertes d'urgence SMS/sans fil (WEA) : Pour envoyer des alertes directement aux appareils mobiles. Cela implique des protocoles de réseau cellulaire spécifiques.  
  
 Par conséquent, il n’existe pas de « protocole de formatage » unique. CAP structure le *contenu* de l'alerte, et d'autres protocoles gèrent la *livraison*. C’est leur interaction qui fait le fonctionnement d’IPAWS.
 
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